En 1934 , M. Serge MUNTCHO , du Film Complet donne sa version sur 13 pages de l' AFFAIRE COQUELET où si j'en crois l'auteur du récit imprimé , il n' y a jamais eu de chat voleur de jarretières comme faussement raconté sur des dizaines de sites .
L'auteur du vol des précieuses jarretières de collection ayant appartenu à Louise de Sibérie n'est autre que le gendarme " Moulard " , lequel les a ramassées au sol après que le chat les aient laissées échapper de ses griffes .
Le gendarme Moulard venu par erreur chez le vieillard collectionneur pour une histoire de mobilisation , a durant la très courte absence de M. COQUELET parti à la recherche de son livret militaite , ramassé sur le sol les jarretières abandonnées par le chat , et lorsque M. COQUELET est revenu en possession de son livret , dans la précipitation , n'a pas trouvé de mieux à faire que d'enfouir délibérément les précieuses jarretières dans sa poche . ( Serge MUNTCHO )
Le gendarme s'est ensuite rendu pour la pause chez sa fiancée " JUSTINE " couturière , rôle interprété par la ravissante " Monette DINAY " .
En explorant sa poche à la recherche de tabac Moulard a sorti à la stupéfaction de sa fiancée les jarretières dérobées à M. COQUELET . Justine a demandé à son fiancé de les lui offrir , et s'est ainsi que les jarretières pleurées par le collectionneur se sont retrouvées sur les forts belles cuisses de Justine .
Jean PÉRINE , auteur du scénario a imaginé que POIREAU voire POIROT ( rôle tenu par Robert LE VIGAN ) jardinier au service de M. COQUELET et accessoirement amant de Justine la fiancée du gendarme en rendant visite à sa maitresse le lendemain ne découvre sur les exquises jambes de la volage les jarretières de son patron recherchées par toutes les polices depuis que M. COQUELET a signalé le vol au commissariat et à la gendarmerie .
JUSTINE la fiancée du gendarme et accessoirement maitresse du jardinier POIREAU portait les jarretières lors de la visite de son amant qui a ainsi pu les restituer au collectionneur .
M. COQUELET a pardonné au gendarme bien obligé néanmoins de quitter la gendarmerie à la suite de son larcin . Gendarme qui aura tenté de brouiller l'enquête en créant une lettre anonyme , et qui , pris de remords aura tenté de se donner la mort avec son arme de service .
M. COQUELET qui n'a pas gardé de rancune envers le gendarme démissionnaire et donc sans emploi , lui a offert une poste de gardien de sa propriété avec villa de fonction .
Villa qui habritera en épilogue le gendarme et Justine qu'il épousera , et aussi POIREAU devenu pensionnaire du couple .
Et le narrateur de conclure devant cette surprenante fin : << Brave Moulard ! et surtout , que personne ne sourie . . . >>
Selon les sites consultés , Tino ROSSI interpréterait à la fête de la sous-préfecture , une unique chanson : " La Petite Ville " , sur des paroles de Jean PÉRINE et une musique de Charles FERET .
Dans le récit de cette fête que donne Serge MUNTCHO et autres journaux , Tino ROSSI , n' interpréterait pas une , maix deux chansons ( 2 ) devant le public d'invités .
Mon bref résumé de l' AFFAIRE COQUELET ne fait pas état de l'enquête diligentée par les gendarmes : brigadier PIEDALOUETTE ( PAULEY ) et son subordonné MOULARD ( Fernand RENÉ ) à la recherche des jarretières volées , suivant la plainte de M. COQUELET .
Dans le rôle de commissaire de la police municipale : Albert DUVALEIX . Précisons que ce commissaire qui manie la rime a pour secrétaire ( et non inspecteur ) , le nommé Jean CLAIRVAL , qui n'est autre que le célèbre chanteur Tino ROSSI .